Stanley Nagel
Stanley Nagel est né à Huy en Belgique en 1966.
Ecrivain poète autodidacte, il a publié deux romans « D » et « Tropique de Belgique » et un premier recueil de poésie « Le Chapelet des Capsules » chez Chiado Editeur en 2015.
Depuis cette première publication réussie chez Chiado, Stanley Nagel s’oriente vers un style plus poétique et original sans tomber dans les travers classiques obligatoires de la littérature française dépassée.
Stanley Nagel n’est pas né d’un adultère belge. Il doit son pseudonyme à Nagel issu du chef d’œuvre Mystère de Knut Hamsun (1891) et son prénom lui est autorisé grâce à sa ressemblance comique avec Stanley Laurel.
En littérature, son maître absolu est Henry Miller avec son dauphin Jack Kerouac et son écrivain « pastiché » discrètement est Richard Brautigan. Il vénère également Philippe Djian et Bret Easton Ellis.
Depuis le 1er janvier 2000, Stanley Nagel écrit un journal intime qu’il vient de transformer en collages dadaïste à partir de 2014. Une exposition aura lieu fin 2016, début 2017 (lieu encore à confirmer)
Cet artiste belge surréaliste passe son temps à décortiquer la vie avec humour sans délicatesse. Passionné également de cinéma et d’art contemporain, il rêve faire partie du patrimoine culturel de son pays comme son ami écrivain flamand Dimitri Verhulst « La Merditude des choses ».
Dès la sortie de son nouveau livre « Il me Faut le Carnet des Bracelets » Stanley Nagel entamera une première tournée lecture poétique avec la saxophoniste Miss Varèse Cooder.
La poésie raconte une fiction vécue. Ni d’ici, ni d’ailleurs, Stanley Nagel se présente comme premier membre de la Beaten génération.
